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-Parapente
Découvrir la Corse depuis les airs ? Se prendre, le temps d’un vol, pour un oiseau de proie ? Une seule solution : le parapente. Grâce aux « ailes » et avec un moniteur, apprêtez-vous à décoller ! Exceptionnel !

Un souffle. Il suffit d’un simple souffle, presque une caresse, et vous voilà en train de disputer aux anges un ciel d’azur comme on n’en trouve (presque) qu’en Corse. Le miracle s’appelle parapente, soit une « sorte de parachute avec lequel on s’élance d’un versant montagneux, du sommet d’une falaise, etc. », pour reprendre la définition – forcément moins poétique – de cette curieuse aile… Née dans les années cinquante, l’idée de décoller à pied d’un site pour le survoler a dû attendre les progrès de la technique pour se transformer en discipline à part entière, avec la création du premier parachute à caisson au début des années soixante, puis la réalisation d’un véritable exploit : le premier vol en « parachute de pente » en 1978. Depuis, celui-ci s’est logiquement transformé en « parapente », un néologisme qui a fini par entrer dans les mœurs… et la pratique…
À propos de pratique, est-il plus facile de faire le grand saut en Corse ? Pas vraiment. Comme l’explique Stéphane Leonetti, responsable avec son frère Olivier, de l’école Altore : « Ici, il n’existe pas d’alizés toute l’année ou des vents relativement réguliers comme dans les Alpes. Du coup, c’est presque moins évident de faire du parapente en Corse. » Aïe ! En réalité, rien n’empêche les amateurs de se lancer. Moins évident ne signifie pas, loin s’en faut, impossible. Et l’intérêt des sites survolés vaut largement l’attente du fameux « vent thermique » qui vous fera pousser des ailes. Moins que le « vent météo » (libecciu par exemple), c’est le soleil qui soulève les ailes des hommes-planeurs. « La pratique en Corse repose sur ce fameux vent thermique : le souffle est généré par l’ensoleillement qui chauffe le sol et permet à une masse d’air, plus légère, de s’élever… », direction le décollage pour un voyage époustouflant. « C’est tout l’intérêt de la discipline en Corse assure encore Stéphane ; on décolle d’un flanc de montagne pour atterrir sur une plage de sable fin et entre-temps, toute la gamme des paysages corses a défilé sous vos pieds… »
Record personnel : entre 5 et 6 heures de vol pour les trois parapentistes, depuis Calacuccia, en plein cœur du Niolu, jusqu’à Figari dans l’extrême-sud. Près de 100 kilomètres à vol d’oiseau au-dessus de paysages à couper le souffle ! Une perspective qui n’empêche pas de réfléchir avant de se prendre à tutoyer les anges. Du haut d’une butte, à flanc de sommet ou depuis un col, il n’est pas rare de voir un dur y songer à deux fois avant de s’équiper pour le big jump.
Quant au vertige, il ressemble surtout à une (très) mauvaise excuse, car il est tout simplement impossible d’un point de vue physique d’en ressentir les effets en vol puisqu’aucun point ne vous relie à la terre, condition indispensable pour se retrouver sujet, même momentané, à l’ivresse du vide !
Tout ça n’est-il pas un peu dangereux quand même ? « Bien moins qu’un trajet en voiture ou en moto », relativise un pratiquant assidu. Quelques consignes permettent toutefois d’éviter les dégâts, parmi lesquelles celle-ci, capitale : ne voler qu’en compagnie de gens formés, brevetés, diplômés. Toujours possible, l’accident est rare dans les faits mais il concerne « essentiellement les gens qui veulent quitter le nid trop vite et voler de leurs propres ailes » après une seule séance d’initiation ou un stage de deux jours. « Contrairement à une idée répandue, explique Stéphane, la pratique du parapente est relativement simple, très facile d’abord. C’est tout le danger : on voit qu’on ne s’en tire pas trop mal et on se prend pour un champion du monde ».
En attendant de voler seul, il faut bien commencer par un baptême. À deux, en compagnie d’un instructeur, osez mettre du vent dans la voile.

-Accrobranche
L’accrobranche, qu’on pratique comme un amusement de fête foraine ou un sport de haut niveau, fait de plus en plus d’adeptes. Surtout en corse où, en quelques années, les circuits
n’ont cessé de se développer.

Il existe plusieurs noms pour le dire : « Accrobranche » ou « Parcours aventure ». Comme il existe plusieurs manières de le faire. En sportif, amateur d’efforts, d’exploits et de compétitions, qui s’enfile tous les parcours en un minimum de temps (de 2 heures à 4 heures). Ou qui bat ses propres records sur le parcours le plus dur, souvent en le faisant plusieurs fois à la suite. Ou en choisissant les conditions les plus dures, lorsqu’il vente ou qu’il pleut ; les plates-formes, les troncs, les branches et les câbles étant mouillés.
À l’inverse, l’amateur se la joue fête foraine. En passant, d’un parcours à un autre, d’un « atelier » (portion de parcours entre deux plates-formes) à l’autre. Ou en sélectionnant son impression préférée : la tyrolienne, par exemple. Comme il irait des auto-tamponneuses au Grand Huit, après un détour par le train fantôme et la fosse centrifuge. En s’interrompant, non pour une barbe à papa ou une crêpe, mais pour un pique-nique ensoleillé autour d’une table de bois. En solitaire, en couple, en copain ou en famille. Parce qu’il existe aussi des parcours pour enfants, même petits. Moins longs, moins durs, moins hauts, avec un toboggan au milieu. Comme au jardin public ou à la piscine.
Et tout cela au milieu des pins larici, entre terre et ciel, dans une ambiance qui hésite entre fort Boyard et Tarzan, l’alpinisme et le funambulesque, sans balancier, mais avec harnais mousquetonnés en cas de chute.
D’ailleurs, tout commence par les harnais. Ceux qu’à l’accueil, après avoir payé son entrée (environ 20 euros par personne, 16 euros pour les groupes), on passe entre ses jambes, puis ses épaules, et qu’on boucle à la ceinture. Avec ces fameux mousquetons (« On ne doit jamais détacher deux mousquetons en même temps » prévient l’instructeur) qui resteront, avec une corde ou un câble, pendant tout le parcours, la bouée de sauvetage de l’accrobranché. Tout commence alors par une première plate-forme (« Jamais plus de deux sur une plate-forme ») et une première courte tyrolienne. Vient l’accès aux différents circuits entre les pins dont la couleur, comme au ski, définit la difficulté. Ou le niveau, comme au judo. Dans l’ordre croissant : blanc, bleu, jaune, rouge, noir, mauve. Le parcours enfant étant défini lui aussi par une couleur : le vert.
Ensuite, il s’agira de passer d’une plate-forme, située dans un arbre à une hauteur plus moins grande, à une autre plate-forme, cela par les moyens les plus divers : cordes, filet, pont de bois suspendu aux lattes plus ou moins distantes, piliers de bois, tunnel façon tonneau, câble double ou unique, le tout entrecoupé de tyroliennes plus ou moins longues, plus ou moins éloignées du sol. Et plus le parcours monte, plus on se rapproche du ciel, en troquant le statut de singe savant pour celui de funambule. Et si, en avant saison, l’endroit paraît calme et serein, en juillet et août, il doit ressembler à une volière à ciel ouvert puisque, parfois, plus de cent personnes défilent par jour. Des familles le week-end, des habitués qui viennent une dizaine de fois dans l’année, des accros qui viennent faire leur parcours comme on fait son jogging, des locaux, des touristes…
Le parcours aventure de Vero, situé à quelques kilomètres au-dessus du village, existe depuis quatre ans. Il est le plus important de Corse puisqu’il rassemble une douzaine de parcours et 130 ateliers (dont une tyrolienne de 150 mètres). Comme la plupart des circuits du même type, il est tenu par des jeunes qui ont dû passer des diplômes « d’escalade » ou « d’escalade arbres », accrédités par le ministère de la jeunesse et des sports. De juin à septembre, il fonctionne sept jours sur sept. Et sans incidents notables, malgré les risques apparents que semble présenter ce genre d’amusement sportif. Seul problème : l’accobranché occasionnel qui panique au milieu d’un atelier ou même sur une plate-forme et qu’on doit descendre en rappel. Ou pis avec une échelle lorsqu’il n’est pas trop haut. La honte…
 
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